Das Attentat, das Jean Chastel am 2

Das Attentat, das Jean Chastel am 27. Dezember 1594 auf Heinrich IV. verübte,
war Anlass für die vermutlich erste Schrift Bongars’, die Quaestio parricidi,
die Suche nach dem Mörder, in der die Jesuiten scharf angegriffen wurden.58
Bongars war von Villeroy sofort nach dem Attentat über die Ereignisse in Paris
unterrichtet worden.59 Obwohl der 20-jährige Student Chastel ein Einzeltäter
war und seine Tat aus religiösem Fanatismus verübt hatte, wurde bei der folgenden
Untersuchung aus seiner Erziehung auf einem Jesuitenkolleg eine jesuitische
Verschwörung abgeleitet und weitere Angehörige des Ordens verhört.
Diese stritten eine Teilnahme an dem Attentat von Chastel ab. Bongars lässt
bei seinen Ausführungen in der Quaestio parricidi keinen Zweifel aufkommen,
dass es sich um eine Tat im Auftrag der Jesuiten handelte. Er sieht diese Tat als
unmittelbare Anwendung des Gebots zum legitimen Tyrannenmord auf einen
der protestantischen Herrscher. Wenn ein Herrscher qua seiner protestantischen
Konfession oder Loyalität ein Tyrann sei, so Bongars, seien ebenso »unsere
deutschen Fürsten, die Herrscher von England, Schottland und Dänemark« vor
den Jesuiten in Gefahr.60 Wie er selbst in Deutschland und Italien erfahren habe,
nütze ein zu nachsichtiges Vorgehen gegen die Jesuiten nichts.61 Bongars nutzte
in seiner Argumentation die beim Verfassen seiner Schrift noch nicht geklärte
Schuldigkeit Chastels, um die Angst vor einer allgemeinen Bedrohung des
Staates zu schüren und gegen die Jesuiten Stimmung zu machen. Das entsprach
auch dem Vorgehen der Justiz in Paris: Das Attentat Chastels auf Heinrich IV.
hatte die geeigneten Vorwände geliefert, um politische Maßnahmen gegen die
Jesuiten zu ergreifen. Sie mussten ihre Kollegien in den Städten verlassen und
wurden vertrieben. Chastels Haus wurde zerstört und an seiner Stelle ein steinernes
Mahnmal mit Inschriften errichtet.

Résultats (Français) 1:

L’attentat perpétré le 27 décembre 1594 sur Henry IV., Jean Chastelétait responsable de la probablement la première police Bongars, la quaestio parricidi.la recherche après le meurtrier, dans lequel étaient les Jésuites fortement attaqués. 58Bongars était de Villeroy, immédiatement après l’attentat sur les événements à Parisenseigne été. 59 même si l’étudiant de 20 an de Chastel une envisagera et a commis son crime du fanatisme religieux, a été à ce qui suitEnquête de son éducation sur un collège de jésuites jésuiteDérivé de conspiration et interrogé les autres membres de l’ordre.Ils sont voient refuser la participation à l’assassinat du Chastel. Bongars peut êtredans son n’allocution dans la quaestio parricidi aucun doute--que c’était un acte pour le compte des Jésuites. Il voit cette action commeapplication immédiate de l’offre pour le tyrannicide légitime sur unle dirigeant Protestant. Lorsqu’un dirigeant qua sa Protestant« Confession ou loyauté est un tyran, selon Bongars, être tout autant » notrePrinces allemands, les souverains d’Angleterre, Ecosse et Danemark « avant ».les Jésuites en danger. 60 comme il l’a appris en Allemagne et en Italie.utiliser une approche d’indulgent contre les Jésuites ont profité de rien. 61 Bongarsdans son argument selon lequel, au moment de son écriture, toujours pas clarifiéObligation de Chastels de la crainte d’une menace générale deÉtat de fomenter et faire humeur contre les Jésuites. Cela correspond àl’approche de la Justice à Paris : l’assassinat de Chastels sur Henri IV.avait fourni les moyens appropriés pour des mesures politiques contre laJésuites à prendre. Ils ont devaient quitter leurs collèges dans les villes etont été expulsés. Chastels House a été détruit et à sa place une pierreMémorial d’inscriptions érigé.

Résultats (Français) 2:

L'attaque que Jean Chastel , le 27 Décembre, 1594 engagé à Henri IV.,
A été l'occasion pour la première police probable Bongars 'que Quaestio parricidi,
la recherche du meurtrier, dans lequel les jésuites wurden.58 fortement attaqué
Bongars était Villeroy immédiatement après l'assassinat des événements à Paris
informé worden.59 Bien que le 20-ans , étudiant Chastel un seul auteur
était et avait son acte commis sur le fanatisme religieux, était dans la suite d'
un examen jésuite de son éducation sur un Jesuitenkolleg
complot dérivé et d' autres parents l'Ordre interrogé.
Cette nié la participation à l'assassinat de Chastel. Bongars laisse
dans ses remarques dans le parricidi Quaestio aucun doute
qu'il était un acte pour les jésuites. Il voit cet acte comme une
application directe de l'exigence de tyrannicide légitime sur une
règle protestante. Si une règle qua sa protestante
dénomination ou la loyauté était un tyran, alors Bongars, étaient comme «nos
princes allemands, les dirigeants de l' Angleterre, l' Ecosse et le Danemark" avant
les jésuites en Gefahr.60 Comme il avait lui - même appris en Allemagne et en Italie,
rentable l' action de trop d' indulgence contre les Bongars des jésuites utilisés
dans son argumentation qui est pas précisé par écrit son traité
devoir Chastel à la crainte d'une menace générale de
fomenter l'Etat et de faire contre l'humeur jésuites. Cela correspondait
aussi l'approche de la Justice à Paris. L'assassinat Chastel sur Henri IV
avait les prétextes appropriés viennent à l' action politique contre
prendre jésuites. Ils avaient leurs collèges dans les villes à gauche et
ont été expulsés. Maison Chastel a été détruit et à sa place une pierre
construite monument avec des inscriptions.

Résultats (Français) 3:

L'assassinat, c'est à 27.En décembre, Henry IV en 1594,La raison est peut - être le premier de polices de caractères bongars, V / parricidi,Trouver le tueur, sur l'attaque de Jésus wurden.58 SharpLe bongars immédiatement après l'assassinat à ParisBien que l'enseignement worden.59 20 ans d'avoir une...En fait, à partir de son fanatisme religieux est commis dans lesDans son étude sur un Jésus va l'éducation ilLa question de la dérivation des commandes de complot et d'autres députés.La participation à ce débat bongars - assassinat.Parricidi V / sans doute dans son discours,C'est un fait que représentent les jésuites.Quand il a vu ces faitsAppliqué directement à un tyrannenmord ordre légitimeLes nouveaux dirigeants.Quand les protestants une règle.La foi ou est un tyran, est bongars », de même unsereLe Prince souverain de l'Allemagne, en Angleterre, de l'Écosse et d, « nemarkLes jésuites en gefahr.60 comme sa propre expérience de l'Allemagne et de l'ItalieAvec un nachsichtiges jésuite nichts.61 bongars au moyen de répressionDans son argumentation, à écrire son texte n'est pas clairChastels lié, la peur de la menace généraleL'humeur de l'incitation à la haine contre les jésuites de pays et de le faire.C'estCe procédé consiste: à chastels judiciaire dans l'assassinat de Paris Henri IV.Fournit une bonne excuse pour des mesures politiquesLa possibilité de Jésus.Ils ont dû quitter l'école de la villeDéplacées.Chastels maisons ont été détruites, remplacé par le froidUn monument érigé l'inscription.