In seinem Entlassungsgesuch Anfang

In seinem Entlassungsgesuch Anfang des Jahres 1610 legte Bongars schließlich
ausführlich die Gründe für seinen Rücktritt dar. In diesem Schreiben rekapituliert
er nochmals seine diplomatische Karriere: Durch die Bürgerkriege wäre
er zum diplomatischen Dienst gekommen und geblieben, obwohl er mehrmals
um Entlassung nachgesucht habe. Er wollte seine Aufträge immer im Sinne des
Königs erledigen und wählte dafür den ihm richtig erscheinenden Weg. Dies
hätten ihm der König und Villeroy, abgesehen von der Affäre um Bouillon,
wo Bongars allerdings zu weit gegangen wäre, auch niemals übelgenommen.
Da aber seine Schreiben vom November 1609 aus Düsseldorf bei Villeroy und
Heinrich IV. auf Verärgerung gestoßen wären, so bitte er um Nachsicht für
seine Fehler

Résultats (Français) 2:

Dans sa démission plus tôt dans l'année 1610 Bongars mettre enfin
. En détail les raisons de sa démission est dans cette lettre récapitulées
Il a réitéré sa carrière diplomatique: La guerre civile serait -
il venu à un service diplomatique et est resté, mais il à plusieurs reprises
avait demandé le licenciement. Il voulait que ses commandes toujours dans le sens de
faire le roi et choisit pour le lui qu'il juge bon sens. Cela
lui aurait donné le roi et Villeroy, en dehors de l'affaire de Bouillon,
où Bongars serait, cependant, être allé trop loin, jamais ressentie.
Mais depuis sa lettre de Novembre 1609 de Dusseldorf à Villeroy et
Henri IV. Ont été rencontré par la colère, il doit demander la clémence pour
ses erreurs

Résultats (Français) 3:

Enfin bongars 1610 présenté dans son entlassungsgesuch au début de l'annéePréciser les raisons de la démission.Dans cette lettre,Il a réaffirmé que sa carrière diplomatique: la guerre civileIl a des affaires étrangères et de rester, mais il a quelques foisRompez.Il parle toujours de commandesLe roi, il pense que la bonne voie.CeSi lui et Vang Pao, sauf en cas de bouillonToutefois, dans bongars est allé trop loin, ni de haine.Mais son écriture de Düsseldorf en Europe en novembre en 1609Pousser de soucis d'Henri IV, veuillez lui pardonner.Son erreur